L’imposture scientifique
Des Lumières au pass sanitaire en passant par la sexologie…
Revoici, après censure et passage sur Odysee et Rumble :
https://odysee.com/@MarionSigaut89:6/imposturescientifique:d
https://rumble.com/vknhjw-limposture-scientifique-des-lumires-au-pass-sanitaire.html
Si vous pensez que l’actuelle attaque contre nos vies et notre liberté est une nouveauté, détrompez-vous.
La fausse pandémie n’est que la dernière en date des impostures pseudo-scientifiques destinées à nous asservir.
- Sous l’ancien régime, la plupart des décisions concernant la vie des gens étaient prises par la population elle-même, organisée en communes pour les villes, en corporations pour les métiers, en communautés villageoises pour les paysans.
- Répartition de l’impôt,
- Éducation des enfants,
- Protection contre la maladie,
- Le veuvage,
- La vieillesse,
- Choix du maître d’école et choix du programme qu’il enseignera,
- Défense de la communauté,
- Salaires,
- Normes professionnelles,
- Absolument tout était entre les mains de la population, sous la paternelle protection du roi.
- Tout le service public était assuré gratuitement par une Église omniprésente qui, payée directement par la dîme, ne dépendait en rien du budget de l’État.
- Le roi était là pour essentiellement deux choses : rendre la justice, et assurer les subsistances.
- Assurer les subsistances consistait à veiller, grâce à une police spécialement dédiée, que la population pourrait s’approvisionner au marché avant tout le monde.
- Les boulangers, les restaurateurs, les hôteliers et enfin les marchands passaient ensuite, ces derniers n’étant autorisés à acheter qu’à l’ultime fin du marché, et après avoir montré patte blanche à ces Messieurs de la police.
- Cette surveillance tatillonne interdisait toute spéculation sur le pain du peuple, tout enrichissement aux dépens de la population.
- Les revenus du roi étaient assurés par l’impôt, et quand il avait besoin d’argent supplémentaire il en levait auprès de la population sous forme d’emprunts transformés en rentes.
- L’Histoire de la royauté se confond avec la quête perpétuelle de fonds nouveaux pour assurer l’équilibre entre les revenus et les dettes.
- Des coteries sans scrupules percèrent jusqu’à la Cour pour pousser le roi à s’endetter jusqu’à ne plus pouvoir honorer ses engagements.
- Quand ils fut à bout d’expédient, des petits malins vinrent le convaincre qu’ils avaient la solution. On les appelait les hommes des Lumières.
- Ils parlaient le langage de la Raison.
- Qui considéra la religion comme une superstition, la police des grains comme un abus, et la liberté du commerce comme le bien absolu.
- Le culte de la Raison fut celui de la science qu’on appela en renfort pour justifier le capitalisme le plus sauvage et le renversement de toutes les protections au nom de la liberté.
- On appela cette science nouvelle l’Économie.
- Les mêmes qui avaient endetté éhontément le roi vinrent lui proposer de lever toutes les barrières qui protégeaient le peuple afin, disaient-ils, d’enrichir tout le monde et le roi.
- Louis XV, puis Louis XVI tentèrent l’expérience et reculèrent face au soulèvement d’indignation d’une population qui ne reconnaissait plus son roi.
- Puis vint la Révolution
- La science et la Raison furent les deux mamelles de l’horreur qui s’abattit sur la France quand, la police des grains définitivement supprimée, les vautours s’abattirent sur le pauvre monde et firent flamber le prix des subsistances.
- L’histoire de la Révolution est celle du pain inaccessible, de la faim qui tenaille, des queues interminables devant les boulangeries.
- La flambée des prix se doubla de l’effondrement des salaires consécutifs à l’interdiction des corporations.
- Mais la Science avait parlé, elle assurait que tout s’arrangerait avec la liberté.
- Ceux qui n’étaient pas d’accord étaient ennemis du peuple.
- La Révolution fut une suite ininterrompue de massacres.
- D’abord des prêtres qui refusèrent de prêter serment à cette infamie, on les disait « réfractaires »,
- puis des populations elles-mêmes qui, du nord au sud, de la Vendée au Lyonnais, se souleva contre cette dictature.
- Il en résulta la fin des libertés au nom de La liberté, et les Français cessèrent de décider pour eux-mêmes,
On leur inventa les élections de représentants.
On y est encore.
- Entre les deux guerres mondiales, un vent de folie souffla sur l’Europe en général et l’Allemagne en particulier, qui vécut un déchaînement de licence sexuelle inédit.
- Sous la houlette de savants d’un nouveau type, se développa une discipline nouvelle qui allait apporter au monde le bonheur et la liberté : la sexologie.
- Défendue par des eugénistes homosexuels, cette nouvelle science prétendait séparer le sexe de la reproduction et la reproduction du sexe.
- L’arrivée d’Hitler au pouvoir mit fin à leurs extravagances, ils émigrèrent en Amérique et en France.
- L’Amérique avait ses propres eugénistes, partisans eux aussi de la licence sexuelle la plus débridée et de la destruction de la famille.
- Mais il n’était pas simple de bousculer une Amérique puritaine et imprégnée des valeurs chrétiennes qui l’avaient fondée.
- La famille, la fidélité, la chasteté, la décence, la pudeur, que de bêtises, que de vieilles lunes ! On allait renverser tout ça.
- Comme on avait fait pour justifier le capitalisme au siècle des Lumières, on appela la science en renfort.
- Pour renverser le monde de la pudeur, de la tradition, des valeurs et de la famille, il fallait un scientifique.
- On trouva Alfred Kinsey, un entomologiste dont on fit un spécialiste du sexe, il fut le pape de la sexologie moderne.
- Il est devenu, et est resté, l’alpha et l’oméga de toute politique sexuelle au monde. Tout ce qui parle de sexe se réfère à lui. Il est LA référence.
- Référence scientifique.
Et la science, depuis le siècle des Lumières, est devenue le critère absolu de la vérité et du bien, en lieu et place de Dieu.
- Kinsey fut essentiellement un grand pervers
-
- un homosexuel sadique,
- un partouzeur effréné doublé d’un maitre-chanteur qui possédait les secrets d’alcôve de tous ses collaborateurs et de bien d’autres.
- Financé par la Fondation Rockefeller et sous la haute protection de la CIA qui partageait ses méthodes et ses découvertes, Kinsey fut avant tout un imposteur payé à renverser les valeurs de l’Amérique, puis du monde, en présentant une réalité faussée, destinée à devenir la norme.
- Kinsey fit accroire
- que l’homosexualité masculine était chose courante,
- que les femmes avortaient à qui mieux mieux,
- que tous les époux se trompaient sans complexe,
- que les enfants avaient des orgasmes dès le berceau
- et qu’il n’existait pas d’abus sexuel sur les enfants :
- en cas de relation sexuelle entre un adulte et un enfant, l’enfant avait à souffrir de l’hystérie de ses ringards de parents,
- pour le reste il était au septième ciel.
- L’influence de Kinsey fut phénoménale.
- En deux rapports totalement frauduleux, (il bidonna toutes ses interviews pour les adultes, et fit violer des enfants par un pédophiles pour parler sexualité infantile)… il assura la promotion du sexe comme loisir et la ringardisation de la morale.
Au nom de la science.
- Aucune critique, aucune demande d’enquête, aucune interpellation publique ne réussirent jamais à déclencher un début d’investigation sur les méthodes et les travaux de Kinsey.
- Judith Reisman, qui fut sollicitée par le président Reagan pour s’en charger, dut abandonner.
- Forts des données de Kinsey, des juristes réformèrent le code pénal et toute la protection contre le viol des femmes et des enfants tomba.
- Le pornographe Hefner, fondateur du magazine Playboy, fonda avec l’aide de Rockefeller, le « Conseil pour l’information et l’éducation à la sexualité », le Siecus, organisme dédié au sexe à l’école.
-
- le Siecus reçut le soutien du Planning familial, puis de l’Unesco et ONG affiliées.
- Aujourd’hui, il est une référence pour l’Unesco, l’Europe, le gouvernement français et l’inévitable Organisation mondiale de la santé (qui se mêle aujourd’hui de santé sexuelle).
- L’Organisation mondiale de la santé promeut le sexe à l’école sur la planète entière, comme il promeut l’homosexualité de toutes les manières possibles.
-
- Le déferlement de pornographie et de violence sexuelle qui s’abat sur le monde n’est pas à chercher ailleurs.
- L’université a emboîté de pas de Kinsey et n’a osé aucune contre-attaque.
- On gave les enfants de sexe dès les petites classes, on justifie la prostitution -pardon, les relations sexuelles de nature transactionnelle pour les plus grands.
- On a totalement aboli la morale au nom de vérités scientifiques qui n’en sont pas.
- Le résultat est une société éclatée, sans lien, faite d’individus esclaves de leurs sens à qui ont fait accroire que jouir est un droit.
- Les enfants sont méthodiquement dressés contre leurs parents à qui on interdit tout droit de correction au titre des « droits de l’enfant ».
- Toutes les pratiques sexuelles les plus déviantes et mortifères sont promues et enseignées.
- Le rôle de Kinsey a consisté à offrir une justification pseudo scientifique à l’abolition de la morale traditionnelle considérée comme répressive, et de représenter l’hédonisme sexuel comme « progressiste » et nécessaire à l’épanouissement de l’homme.
La crise du covid n’est que la continuation de ce processus :
- Les décisions vitales sont désormais prises de plus en plus loin de nous,
- Les libertés les plus fondamentales comme le droit de respirer librement, de se déplacer, de travailler et d’élever ses enfants nous sont retirées.
- Des organisations monstrueuses comme l’OMS peuvent arrêter toute circulation des hommes et des marchandises sur la terre entière, au nom d’un bien supérieur.
- Toute notre vie est désormais entre les mains d’une coterie invisible qui tire les ficelles et nous inonde de mensonges déversés à flot continu par tous les canaux disponibles.
- La justification de ces horreurs est encore une fois scientifique.
Cette science appelée en renfort n’est que fausse science ou science sans conscience.
Elle est l’imposture que les maîtres du monde utilisent pour arriver à leurs fins de destruction de la création et d’asservissement du monde.
Dans notre monde sécularisé, la science prétend remplacer la religion pour dire le bien et le mal.
Rien n’est perdu et tout est possible.
- Le mensonge ne fonctionne qu’aussi longtemps qu’il n’est pas démasqué.
- La vérité suinte de partout sur l’imposture covidesque.
- La vérité historique est également en train d’émerger.
- Ouvrez les yeux !
- Résistez !
- Ils ne gagneront pas.
Ah, merci, chère Marion, pour ce sain coup de gueule ! C’est fou ce que je vais me gêner pour le diffuser Urbi et Orbi !!
Hélas, impossible puisque YouTube m’a censurée. Et c’est la croix et la bannière pour la passer sur Odysee. La galère !
» Défendue par des eugénistes homosexuels, cette nouvelle science prétendait séparer le sexe de la reproduction et la reproduction du sexe. » » Kinsey fut essentiellement un grand pervers
un homosexuel sadique » On dirait que c’est son homosexualité qui vous dérange plus que ce qu’il a fait 🙂 En quoi ce serait un mal qu’il soit homosexuel ?
Qu’est-ce qui vous fait dire que ce serait mal ?
Il serait comique, si le sujet n’était pas grave, de voir M. Emmanuel Macron, formé à « Science Po », puis banquier d’affaires, nous expliquer d’abord qu’au pays des « Lumières » (?) et de Louis Pasteur on ne peut imposer ce que, ensuite, il impose au prétexte qu’on serait au « pays des Lumières et de Louis Pasteur ».
Il est désolant que, sincèrement ou non, il en appelle à « la Science » et à l’autorité des « sachants » (sic) contre des critiques supposées émaner d’une sorte de vulgum pecus illettré, malgré qu’on y entende des voix de savants réputés ; et ce dernier point est encore celui qui, s’il devrait le convaincre de l’aberration de ses assertions même de son propre point de vue, en est encore la moindre réfutation dans l’absolu.
Qu’est-ce un banquier d’affaires formé à « Science Po » sait de la Science ? Par sa formation, il en sait moins long sur ce sujet qu’un laboureur ou qu’un ouvrier ; et qu’on ne croie pas que j’abuse par ces comparaisons : on sera, ici, bien avisé de suivre Socrate, selon qui celui qui ne sait rien sait du moins qu’il ne sait rien, tandis que celui qui croit savoir n’est qu’empli de préjugés qui l’aveuglent.
Qu’un ancien de « Science Po » ne sache pas ce qu’est la science est triste, mais compréhensible hélas ; que des médecins ou d’autres, scientifiques de leur état, promus par la télé, nous fassent croire qu’elle serait l’autorité indiscutable de l’unanimité (inexistante et impossible d’ailleurs) ou de la majorité (contrainte, par sanctions contre les voix dissidentes) des « sachants » (sic) est extrêmement grave : l’argument de l’autorité est l’argument de ceux qui n’en ont aucun qui soit rationnel. Cet argument de l’autorité incontestable de la majorité des « sachants » (sic), quand bien même cette majorité ou cette unanimité seraient réelles et non fabriquées et contraintes, est la définition même de la croyance pure, et de la capitulation en rase campagne de la raison. Y recourir prouve qu’on est aussi éloigné de comprendre ce qu’est la science qu’un cannibale dans sa forêt vierge – et, encore une fois, ce n’est pas exagérer que le dire.
Pour en finir avec les sornettes de la prétendue « science » des prétendues « Lumières », et avec la prétendue « autorité » des prétendus « sachants » (quel hideux charabia, bien digne d’un franglisant banquier d’affaires !), il suffit de citer celui auquel ne sairait s’opposer aucun de ceux qui croient à cette « autorité » : Henri Poincaré, relativement peu connu, qui pourtant est le plus grand scientifique des trois derniers siècles, donc supérieur à toutes les prétendues « Lumières », et qui proclamait l’inexistence de cette autorité (car il n’était pas, lui, un âne bâté franglisant).
Henri Poincaré, La Science et l’hypothèse (introduction) :
« Pour un observateur superficiel, la vérité scientifique est hors des atteintes du doute ; la logique de la science est infaillible et, si les savants se trompent quelquefois, c’est pour en avoir méconnu les règles. »
En réalité, comme le savait Poincaré, la Science n’est que le recours à l’argument et au raisonnement, et sont indépendants de la personne. Qui a des arguments ? et qui n’en a pas ? C’est cela seulement qui détermine la Science, avec le doute et la vérification permanente. Le reste n’est que croyance, et une croyance bien plus redoutable que toute autre superstition quand elle usurpe le nom de la Science.
Poincaré encore (ibid., chapitre IX, « L’Hypothèse en physique ») :
« Ne pouvons-nous nous contenter de l’expérience toute nue ? Non, cela est impossible ; ce serait méconnaître complètement le véritable caractère de la science. Le savant doit ordonner ; on fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres ; mais une accumulation de faits n’est pas plus une science qu’un tas de pierres n’est une maison. »
Les « Lumières » n’ont jamais été la Science ; au contraire elles furent un enchevêtrement de préjugés philosophiques, et même, en fait, une fantasmagorie théologique dans laquelle les faits furent agglomérés sans rime ni raison autre que l’ordre propre à cette fantasmagorie.
La monarchie avant la révolution prélevait à peine 500 millions de francs sur toute la population ; toutefois la lutte avec la Grande-Bretagne et ses banques déjà monstrueusement puissantes, lutte pour le premier rang en Europe (et donc dans le monde de cette époque) imposait la construction d’une flotte qui, pour être efficace, serait coûteuse. La construction des navires était encore la moindre part des dépenses (et quant à la qualité, le premier rang ne pouvait nous être contesté ici), car les frais de fonctionnement (soldes, nourriture des marins…) étaient bien plus élevés.
La France aurait pu doubler ses revenus sans peser davantage sur le peuple par l’abolition ou la réduction des privilèges ; la monarchie y tendait depuis la fin du règne de Louis XIV, mais devait reculer régulièrement face à l’opposition des grands ; elle finit donc par accepter avec réticence l’expérience libérale, qui déchaînerait la révolution, où se manifesterait justement cette même opposition qui l’avait empêchée d’élargir le champ d’application de l’impôt. Et finalement fut accompli ce changement d’assiette qui doubla les revenus de l’État ; mais pour ce résultat, une caste de financiers illuminés avait pris les commandes, et allait, de génération en génération, arrondir sa pelote, aux dépens de l’État et du peuple.
En excellente connaisseuse de ces sujets, Mme Sigaut, dans cette brève vidéo, nous résume excellemment cette période déterminante. En vraie scientifique (car l’Histoire, si elle n’est pas une science exacte, est encore une science humaine, et non pas une simple tradition, puisque s’y appliquent les critères scientifiques et non le ridicule argument d’autorité des ânes qui nous dirigent), elle a cherché, et ne s’est pas contenté de meugler avec le troupeau. Oui, c’est cela, la science, et rien d’autre, et bien des universitaires en sont capables, mais se contentent d’infimes originalités par crainte, pour leur carrière, de l’intervention de l’Autorité, c’est-à-dire, en fait, des autorités.
Dix minutes de vidéo pour résumer les conclusions essentielles de ses travaux, et pour rappeler aussi ce que déjà la science historique avait en partie démontré, mais qu’on n’évoquait en général que discrètement, ou par allusions passablement hermétiques, dans les milieux universitaires.
Merci.
Ce sont surtout vos travaux qui méritent la reconnaissance, Madame. Ceux qui posent aux truchements d’on ne sait quelle déesse « Science », à l’autorité paraît-il incontestable, violent en fait la Science, la vraie, chaque fois qu’ils en appellent à « l’autorité des sachants » (sic). On respecte la Science en en faisant, par la recherche, et on y a un mérite d’autant plus grand qu’on ne pose pas aux arbitres d’oracles irréfragables de divintés muettes. Alors il n’y a pas même besoin de prononcer le nom de la Science : on la défend dans la réalité, et non pas en s’en réclamant.
Et j’ajoute, parce que j’ai lu plus haut que Youtube avait depuis censuré votre vidéo (dont j’ai fait une copie, et que je montrerais volontiers à des tiers, à l’occasion de discussions, et qui fera un excellent point de départ), que cette censure est pour moi impossible à justifier.
De plus, le reproche qu’un commentateur vous a fait (« c’est son homosexualité [l’homosexualité de Kinsey] qui vous dérange plus que ce qu’il a fait ») est incongru pour quiconque vous a écoutée : au contraire, et à moins d’une interprétation soit malhonnête soit morbide (dont le visage ne saurait être représenté par un sourire : « ), on ne saurait conclure que vous reprochez à Kinsey autre chose que, justement, ce qu’il a fait. C »était à son œuvre que se rapportait le passage où vous l’évoquiez, qui était une dénonciation de la supercherie de ses prétendus travaux de « sexologie » (dont vous dénonciez les falsfications, par exemple qu’il avait compté comme « orgasmes » les cris, les pleurs et les autres réactions de terreur d’enfants violés ; Kinsey était, soit dit en passant, et comme vous l’avez rappelé, entomologiste, et aucunement spécialiste du comportement humain, ce qui devrait être assez pour ceux qui s’y réfèrent au nom de l’argument absurde de « l’autorité des sachants »).
Re-merci donc.
Le commentaire ci-dessous est essentiellement malhonnête. Comment peut-on dire que « l’homosexualité me dérange ». Ai-je dit quelque chose du genre ? Et si elle me dérangeait, aurais-je à m’en justifier ? C’est ce que je dis qui, apparemment, dérange cette personne Inversion accusatoire.
Bravo Marion,
Tout est clair,net ,précis sans langue de bois.
Que Dieu vous garde.
Bravo Marion,
Tout est clair,net et précis ,sans langue de bois.
Que Dieu vous garde.
Bonjour Marion,
Je ne sais pas si mon dernier commentaire est passé mais je vous dis BRAVO.
Merci pour votre courage,votre clarté votre esprit subtil et vos dire sans langue de bois.
Que Dieu vous protège .
Outre le déplaisant anglicisme transformant en « pass » ce qu’en français on appelle un laisser-passer (mais les qualités professionnelles d’un banquier d’affaire ne sont-elles pas de faire autant de « pass » que possible ?), M. Macron commet la faute de présenter les prétendues « Lumières » et Pasteur en modèles de science et de raison : sur ces deux points, le rejet de la réalité est complet.
Par exemple, Pasteur ne fut pas l’inventeur du vaccin (ce fut Jenner), ni l’inventeur de sa méthode de vaccination contre la rage (ce fut Roux, qui estimait avec raison qu’il fallait faire davantage d’essais avant de conclure sur l’efficacité de ce procédé), ni l’inventeur d’un efficace vaccin contre la rage (ce fut un certain TOUSSAINT ‐ ça ne s’invente pas). Pasteur appliqua et s’appropria une méthode expérimentale qui tua peut-être autant qu’elle protégea (la mortalité due à la rage ne baissa pas après sa campagne de vaccination) ; la publicité qu’on fit à son nom aurait plutôt retardé la mise en œuvre d’un vaccin efficace.
Philippe Decourt, Les Vérités indésirables (volume I. Première partie : Faut-il réhabiliter Galiliée ? / Seconde partie : Comment on falsifie l’Histoire : Le Cas Pasteur.), pp. 152, 153 et 311 :
« Contrairement à ce que l’on croit habituellement les vaccins modernes ne furent pas créés par Pasteur mais par Toussaint, professeur à l’école vétérinaire de Toulouse. (…)
En 1935, la méthode dite de Pasteur, dangereuse et d’une efficacité irrégulière ou douteuse, était déjà depuis longtemps considérée comme périmée. Au moment du premier essai chez l’homme, Pasteur pouvait-il affirmer que sa méthode protégeait de la rage, « à coup sûr » comme le déclara Vulpian le même jour ? En 1937, à l’Institut Pasteur, Pierre Lépine et Sauter ont fait des essais dans des conditions rigoureuses : les lapins vaccinés avec les moelles desséchées n’ont été protégés que dans la proportion de 35 % (4).
(…)
(4) Annales de l’Institut Pasteur, 1937. Une très importante étude de la rage a été publiée par Pierre Lépine dans un ouvrage collectif, Les ultra-virus des maladies humaines, deuxième édition, 1948, p. 301 à 444 (Maloine édit.). »
Page 307 :
« Pasteur se donne toujours raison, même quand il a le plus manifestement tort. Par les certitudes qu’il affirme, il impressionne. Ceux qui ne savent pas – presque tous – le croient. Ils ne peuvent pas imaginer qu’il déforme, ou souvent qu’il inverse totalement la vérité chaque fois qu’elle le gêne. S’en rend-il toujours compte ? Peut-être pas. Il a tellement confiance en lui qu’il n’exerce guère une critique de ses actes ou de ses opinions ; il oublie ou méprise ce que d’autres ont pu dire. Mais souvent aussi le mensonge est si flagrant qu’il ne peut pas être inconscient. Les exemples en sont nombreux.
En définitive, que reste-t-il de son œuvre ? Pas grand-chose. Il a donné des conseils à des industriels, à Lille, pour la fabrication de l’alcool de betterave et du vinaigre, à un brasseur de Copenhague, pour la bière. Mais la découvene des ferments « êtres vivants» qui sont à la base de ses conseils ? Ce n’est pas lui. Le rôle des organismes microscopiques dans la genèse des maladies ? Ce n’est pas lui. La création des vaccins anti-bactériens, non plus. Quand il annonce son premier vaccin, dans la grande bibliothèque de l’Institut Pasteur (1894). il sait très bien qu’il n’existe pas. La vaccination contre la rage ? Envisagée avant lui et déjà réalisée en partie, on dit qu’il n’a pas eu de précurseur. La méthode qu’il préconise et qui lui vaut la grande gloire donne des résultats si peu sûrs et au total si médiocres qu’elle sera totalement abandonnée quand on aura mieux : une méthode qui existait avant la sienne mais contre laquelle il s’était élevé. »
Ainsi, l’usurpateur de l’invention d’une méthode de vaccination efficace à 35 % seulement, qui tua peut-être autant qu’elle sauva, et qui retarda la mise en œuvre e’un traitement efficace, est le modèle que suivrait la politique sanitaire de la République française en 2021 ? Ainsi, un homme dépourvu de toute honnêteté intellectuelle serait l’exemple suivi par nos dirigeants ? Vraiment ? Et ils s’en réclament ouvertement ! Quelle abyssale ignorance ! Ou quel cynisme.
Que Pasteur, dont le renom est une œuvre de pure publicité, soit cité pour modèle à suivre, voilà déjà qui suffirait à montrer à quel point les ânes bâtés qui nous dirigent ignorent tout de l’Histoire, de la Science, et de l’Histoire des sciences.
Quel magnifique commentaire ! Merci.
Merci Marion,
Magnifique rappel et suivi de l’évolution de nos sociétés, où le respect de l’enfance et des peuples est bafouée au profit d’une caste prédatrice, imbue de son pouvoir, déshumanisée qui considère son prochain comme un kleenex. Objet jetable et remplaçable.
Former nos enfants à être vigilants et former nos sociétés à protéger les plus faibles.
Informer au maximum car leurs basses oeuvres a débuté bien avant notre naissance.
Ce rappel est simplement magnifique.
Je t’aime.
Courage
Merci.
Merci pour ce noble combat; Que Dieu vous protège dans ce combat pour la lumière
Merci à vous.
Marion
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme », citation au bas de mon blog avec l’illustration de Stonehedge. En effet. CHIRAC et JOSPIN chacun à leur tour protocolaire depuis le perron de l’Élysée puis de celui de MATIGNON, ont déclaré : » Aucune moralité ne doit prévaloir sur les lois de la République ». Ceci à l’époque de leur « cohabitation » qui rendait évident leur plan commun en dépit de la présentation partisane politicienne. Merci pour votre exposé très clair qui confirme tout ce que j’ai compris progressivement aussi durant les cinquante dernières années.
Petite anecdote : un jour de 1973, année où je pris la présidence d’une ASL d’un village de 200 maisons et 800 habitants en IDF, je dis à un psychiatre de Paris que je ne me reconnaissais dans aucun des partis politiques du régime. Il me répondit qu’il était psychiatrique d’avoir une telle position car selon lui je devais au moins me reconnaître dans l’un d’eux ! Durant dix je m’opposai si bien à tous pour protéger les habitants, leurs droits et leur liberté que je fus trahi par la supposée droite ( CNIP, RPR etc) et attaquée méchamment par la gauche (PCF, PS etc). En 1983 je dus abandonner devant la poussée conjuguée et la soumission des gens qui décidément ne voient que rarement leur intérêt là où il est.
Merci de cet émouvant témoignage. J’en conclurais personnellement qu’il n’y a rien à espérer d’institutionnel en France. Reste le peuple français, pas encore mort j’espère.